Les murs sont partis en vacances

Faire violence à l’espace du logis, le mettre à nu : les cloisons-dissimulations, protectrices et réconfortantes, ont disparu, laissant au regard un spectacle désemparant et désemparé. Que reste-t-il de la maison ? Un vulgaire plan au sol ? Des meubles laissés à la dérive ? Ou une nouvelle manière d’interroger les lieux ? L’invitation se fait alors insolite : déambuler dans…

Une étrange maison qui se tient dans nos voix

Habiter, demeurer, être casanier. Elles et ils habitent, à leurs manières, avec plus ou moins de difficulté, avec plus ou moins d’évidence. Au fil de leur vie et des étapes qui jalonnent leurs parcours, elles et ils nous racontent. Et c’est alors que des maisons de mots se dressent, des maisons d’expériences passées et à…

Dessine moi une maison

L’appel de la toile blanche de l’angoisse : maison idéale, maison cachée ou musicale, maison marine, maison du voyage ou de l’artiste, maison absente … en haut, au milieu ou en bas, en immense ou en minuscule, penchée ou droite, étonnante ou ordinaire, en noir ou en couleurs, sur la grande toile blanche. Ouvre les lieux,…

Portraits impossibles de logis

Ces grandes façades muettes et mystérieuses, pour toujours impénétrables. Ces grandes cloisons opaques qui dissimulent du regard. Ces visages fermés dont la porte vient redoubler la fermeture. Ces excuses, ces refus, ces refoulements : ne pas entrer, ne pas entrer, ne pas voir ! Alors, vous, les murs, qui tenez debout, malgré tout, malgré le monde et…

Chez-nous, ou la maison des vivant-e-s

Le monde passe, le monde traverse. Car si les cloisons manquent, la maison respire ! Non, cet espace n’est pas vacant, cet espace n’est pas éteint ni même informe, bancal ou mutilé. Cette maison, notre maison – la maison des vivant-e-s, elle vit, elle appelle, elle invite à entrer, à passer, à s’installer, à demeurer, à…